après pour l'expérience, une vitre qui pète ça compte pas, à savoir que le verre pouvait avoir un défaut. raye ou défaut dans le matériaux (même si c'est extrèmement rare que du float ai un défaut de composition qui ne serait pas détecté...) mais surtout le verre est un matériaux extremement sensible au choc
Après ça s'étais la résistance au choc, faudrait plutôt voir la résistance à la pression de l'eau contre la parois, ce qui est plus le cas qui nous intéresse... Faudrais que je fasse l'expérience aussi, mais faudrait un volume conséquent pour vérifier ça. Enfin surtout une bonne hauteur pour les doux-dingue, rappel d'hydrostatique de base:
P est la pression horizontale de l'eau sur la parois,
rho est la masse volumique de l'eau (1000Kg.m-3)
g l'accélération de pesanteur 9.81 m.s-2
et z la profondeur.
Donc je ne pense pas qu'avec nos bac la pression soit suffisante. Comme vous le voyez, la pression ne dépend que de la hauteur d'eau, pas de la largeur du bac... Il est extrêmement rare (voire inexistant) de voir dans nos intérieurs des bacs d'1m50, 2m ou plus de haut.
Enfin bon pour avoir une pression suffisante pour expérimenter, il faudrait avoir une cuve très haute pour atteindre le point de rupture de la colle silicone... De plus d'autres facteurs seraient à prendre en compte, tel que la qualité du collage, la qualité du nettoyage, la qualité de la silicone... Les industriels ne sont pas idiot non plus, je pense qu'il vende un produit dont la résistance est largement plus importante que les forces qui entrent en jeu.
Je pense que ça ne sera pas facile de prouver la supériorité en terme de résistance d'une technique sur l'autre... Je pense qu'il faut plus envisager le problème en terme de facilité de mise en oeuvre, facilité d'intervention sur le bac (remplacement d'une vitre)
Désolé pour le pavé, j'ai beau être vitrailliste, j'ai des restes d'un passé de BTS en physique industrielle (dont hydrostastique, mécanique des fluides etc)